Genre l’amour dans la vérité

hier au Jardin des Plantes, photo Alina Reyes

 

Ces femmes qu’on utilise pour provoquer et créer toujours plus de division dans la société. Les unes exhibées en Femen, les autres en niqab. Honte à elles pour leur manque d’amour et de respect d’autrui, honte à ceux qui les soutiennent et les encouragent ou les poussent à ces comportements dont l’objectif est d’afficher leur non-respect des autres. Que le monde est malsain.

Le côté « prostituées » des Femen assure leur succès, mais peut-être leurs soutiens ne savent-ils pas tous qu’elles ont pour but d’obtenir la poursuite judiciaire de toute personne qui paie pour des relations sexuelles.

Un autre type de néo-féministes, en Allemagne, se déclare pour la rémunération des femmes au foyer, car « la reproduction est un travail et doit donc être rémunéré ». (Courrier International – Der Spiegel).

La condition des femmes est le miroir de l’aliénation des hommes.

Le dalaï lama, lui, estime que, le monde ayant grand besoin de compassion, le prochain dalaï lama pourrait être une femme. Un autre genre de femme, sans doute. Pour engendrer un autre genre d’être humain. C’est moi qui mets les guillemets, pour souligner le mensonge contenu dans ces définitions, et la nécessité de les rendre à la vérité : Ni « juif » ni « grec », ni « esclave » ni « homme libre », ni « homme » ni  « femme » (saint Paul).

 

alinareyes