Restant travailler à la maison aujourd’hui, j’y ai aussi photographié ma troisième action qui mérite l’adjectif poélitique : j’ai intégré un pot de menthe dans le bac sur la fenêtre à côté du rosier : les pucerons n’aimant pas l’odeur exquise de la menthe cesseront ainsi de venir dévorer les feuilles du rosier.
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Le rosier est un micro-rosier cadeau de cinq centimètres replanté il y a deux ans, et qui depuis se développe bien ; poussent à côté des herbes sauvages tombées du ciel ; et au moins une pomme de terre, dont on voit les feuilles derrière la tête du tigre, venant de celle que j’y avais enterrée l’année dernière et qui en avait donné quatre, une par personne de la famille.
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