Il est certes plus aisé et plus seyant de faire le procès de quelques seconds couteaux des tueries islamistes de 2015 que de faire celui des politicards et hommes d’affaires qui copinent avec le Qatar et l’Arabie Saoudite, vendant la France au détail et leur vendant des armes en gros. Les morts qu’elles font, qui les compte, qui connaît leurs noms (à part ceux des morts français évidemment, tués aussi par cette politique génératrice de terrorisme) ? Avec la complicité des médias et autres bien-pensants, c’est la France à la fois collabo et coloniale, hypocrite et criminelle, couchée et raciste, qui perdure dans ce qu’ils appellent l’esprit Charlie. Fort décrépit, Dieu merci.