Grande forme de partout. Le fait de traduire l’Odyssée y est pour quelque chose, avec la peinture, que je fais en écoutant les Variations Goldberg jouées par Lang Lang (j’ai acheté le CD) et bien sûr le yoga, et puis tout le reste de la bonne vie quotidienne. Voilà pour mon journal du jour. Et pour la suite de l’Odyssée, encore un court passage aujourd’hui, la réponse d’Athéna au désarroi de Télémaque.
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Ainsi reprit Athéna aux yeux brillants de chouette :
« Non, les dieux n’ont pas posé que ta lignée resterait
Sans renommée, puisque Pénélope t’a engendré, toi.
Mais allons ! Dis-moi franchement : qu’est-ce que ce festin ?
Ces gens rassasiés ? Quel besoin en as-tu, enfin ?
Banquet, noce ? Ça n’a rien d’un repas où chacun
Paie sa part, à voir comme ces insolents, ces arrogants,
Mangent dans ta maison. S’indignerait tout homme
Sensé qui, entrant ici, verrait toute cette honte. »
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le texte grec est ici
à suivre !