Terminé ce matin la traduction du chant IV. J’ai donc traduit en 20 jours les quatre premiers chants. Je commence juste celle du cinquième, qui est très long, 909 vers. Voici les 8 premiers (et j’ai rêvé il y a quelques nuits que j’étais une toute jeune femme, en train de lire un livre en grec ancien qui me parlait).
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À Diomède, fils de Tydée, Pallas Athéna donne
Alors force et audace, afin qu’entre tous les hommes
Il s’illustre et gagne auprès des Argiens une belle gloire ;
Elle allume un feu constant sur son bouclier et son casque,
Pareil à un astre à la fin de l’été, resplendissant
D’un plus vif éclat après s’être baigné dans l’Océan.
Tel est le feu qu’elle allume sur sa tête et ses épaules,
Et elle le lance au cœur de la confusion la plus folle.