« Je m’intéresse à ceux qui résistent, avait précisé Erlendur. À ces gens qui survivent à des conditions extrêmes. Comment y parviennent-ils ? Pourquoi certains survivent-ils alors que d’autres périssent quand ils sont confrontés aux mêmes dangers ? Pourquoi certains se perdent-ils et d’autres pas ? Quelles erreurs commettent-ils ? Comment peut-on éviter les erreurs en question ?
(…) Lequel des deux je suis, celui qui survit ou l’autre qui meurt ? » Arnaldur Indridason, Le lagon noir
« Puis tous deux longent la rivière et entrent dans le matin limpide ». Arnaldur Indridason, Étranges rivages