Mine de rien, ça prend de l’énergie.
Je pense à Jésus, quand la malade a touché les franges de son manteau. Il a senti un épuisement, mais l’hémorragie s’est arrêtée.
Qui laisse l’invisible se servir de son énergie peut marcher sur l’eau, mais aussi, par moments, s’inflammer de douleurs. Ce n’est rien, il faut attendre que ça passe.
Quand j’ai dit à O « ça y est, la fumée est blanche », il a dit : « déjà ? ce ne sera donc pas le Franciscain, il leur aurait fallu plus de temps ». J’ai dit « alors il va s’appeler François ».
Ce jour-là le tigre dans la Seine, c’était sûrement la première fois depuis le début du monde que cela se produisait. Cela ressemble à la parole du Coran, qui parle d’autre chose qui se trouve derrière les apparences.
*