Je suis au Jardin des Plantes comme j’étais en mes montagnes, comme j’étais à l’océan, comme je fus et suis toujours et partout, au paradis. Le paradis n’a pas de fin, et il nous est chaque jour donné.
Les hommes ont un ennemi, des ennemis, mais moi je n’en ai pas, je n’en ai jamais eu.
Comment un croyant peut-il revendiquer la loi naturelle ? Il n’est de loi que celle de l’Esprit.
On peut toujours ne pas vouloir croire en quelque chose, si cela est, cela est.
L’amour que nous portons à certains êtres les aide à monter au ciel, en telle ou telle place du ciel. Puis, de là-haut, ils nous aident, sur terre. Par exemple à écrire, comme je l’ai fait tout à l’heure au jardin.