Being 777, un air plane, d’apocalypse, et Vincent vit

Le prochain érotique avance, il sera terminé dans quelques jours, je pourrai me remettre à la peinture et à d’autres écritures, notamment ici. Car c’est par elles que je peux parler, dire.

Dans une vieille vidéo de l’INA, on entend une journaliste dire à Vincent van Gogh, neveu du peintre : « Votre père, Théo, a reçu une énorme correspondance de son frère. Il écrivait souvent ? »

La subtilisation, la captation, la réduction, faites ou en projet, des tapisseries à la licorne et de la grotte de Lourdes, sont des actions gnostiques au mauvais sens du terme, occultes, tendant à détourner les hommes de la lumière en incitant à un esprit sectaire. Pour ma part, n’ayant peur ni de la corne ni de la grotte, je continue à ouvrir des portes.

Il se pourrait fort bien que ce soit Gauguin qui ait coupé l’oreille de Vincent van Gogh lors de leur dispute, et que plus tard ce soit deux chenapans qui lui aient tiré dessus, accidentellement ou non. Van Gogh ne s’est pas suicidé. La société l’a fait, comme dit Artaud, et les dernières études biographiques suggèrent que ce pourrait être par le bras de ces jeunes hommes de la bonne bourgeoisie qui s’amusaient à le harceler. Vincent s’est tu, mais il a dit que sa peinture parlerait pour lui. Elle parle, ses champs de blé survolés de corbeaux parlent. Et il vit, il fait rayonner la vie dans le monde.

alinareyes