Ce que j’ai vécu en voulant rendre service aux hommes a révélé la face répugnante des clercs en tous genres. C’est pourquoi je ne pourrais plus travailler avec les gens de culture ou de religion ou de quoi que ce soit d’autre compromis ensemble dans la dérive. Cela n’enlève rien à la valeur des textes, ni à la valeur des justes, qui ont assez de courage, de cœur et d’honneur pour ne pas se laisser convaincre par le mensonge, la parole manipulatrice, le système faux et faussaire. C’est si spectaculaire, la façon dont l’opinion croit aux notaires, aux notables, aux installés, et dont tant de prétendus révolutionnaires les suivent comme des toutous leurs mémères.