J’ai vécu ou voyagé dans des endroits plus grandioses ou plus humbles, mais partout où j’ai vécu j’ai été en fête. La culture de la fête officielle, comme celle de la Nuit Blanche aujourd’hui, ne me paraît pas forcément mauvaise (quoiqu’elle soit meilleure quand les fêtes ont un sens, une histoire) mais donne une expérience de la fête bien fade par rapport à celles des fêtes spontanées, en compagnie, ou plus intimes encore.
C’est la joie qui me fait photographier ce que je vois en chemin.
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Des gens qui répètent des chorégraphies sur les parvis de la BnF, en début d’après-midi quand j’arrive et en fin d’après-midi quand je repars…
Une plaque et des affichages sauvages en face de la Sorbonne…
Les toits de la Sorbonne vus de l’intérieur…
Toujours à la Sorbonne, la bibliothèque Jacqueline de Romilly sous un plafond ailé
Les affichages dans les couloirs de la fac
La grande cour avec encore quelques étudiants en fin de journée
Et retour dans les rues
En passant devant la mairie du Ve, je vois qu’il y a une expo, j’entre (et je vois d’abord une pétition pour sauver les bouquinistes en demandant leur inscription au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco)
En fait c’est le vernissageHier et avant-avant-hier à Paris, photos Alina Reyes
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