*
Après une première note sur les ciels du causse Méjean, une deuxième sur son bestiaire naturel ou fantastique, voici, en une cinquantaine d’images, un aperçu de l’architecture traditionnelle de ce pays, la Lozère, dont je songe, comme le disait Jacques Lacarrière de la Crète, qu’il est un continent. Un continent tout entier de beauté, dans sa diversité naturelle et dans les marques de sa culture. J’ai souvent pensé à Jacques Lacarrière et à son livre Chemin faisant, relatant son voyage à pied à travers la France. Au cours de ce trek de 100 km nous avons traversé bien des paysages désertiques, nous avons communié avec la nature en marchant des heures durant, sacs au dos (lourds, notamment d’eau, absente sur le causse), en mangeant et en dormant par terre sous les ciels étincelants du jour ou sous les étoiles mouvantes ou filantes, soit en camping sauvage soit dans des petits campings (où j’ai remarqué que nous étions les seuls, même parmi les randonneurs, à dormir à même le sol, sans matelas gonflable). Mais ce fut un grand bonheur aussi d’arriver dans des villages, d’y voir la vie des gens, de parler avec certaines personnes, de goûter les produits de la ferme, etc.
à Florac-Trois-Rivières et dans les environs :
*
sur le causse Méjean, quelques fermes, hameaux paysans, abris, fours à pain communaux :
*
à Nivoliers, une auberge dans une ancienne bergerie :
*
à Saint-Chély, avec sa chapelle dans la roche et sa cascade dans une maison :
*
à Sainte-Enimie :
*
à Castelbouc :
*
à Montbrun, village extrêmement pentu, le jour du marché paysan :
*
à Quézac, avec sa Notre Dame de Quézac, Vierge noire :
*
à Ispagnac :
photos Alina Reyes
voir aussi :
les ciels du causse Méjean
le bestiaire du causse Méjean
notre trek, pas à pas
l’art urbain à Quézac