« Jupiter » a « très envie de les emmerder », une grosse envie de chier, donc, sur une partie de ses concitoyens, qu’il déclare d’ailleurs déchus de leur citoyenneté. La vérité sur eux-mêmes sort de la bouche des adultes restés au stade anal, centrés sur leur impérieux ego et la puissance de leur caca. Poupée, anale nationale est au pouvoir sous le masque de Macron, comme elle le fut sous celui de Trump, comme elle l’est sous le masque de Zemmour et de bien d’autres, dans la lignée du père Le Pen et de ses petites phrases en forme de grosses merdes. Le racisme de Macron est une racisme de classe, dirigé contre le peuple, les gens humbles, « ceux qui ne sont rien », qu’il n’a cessé, depuis cinq ans, d’insulter, de stigmatiser, de violenter symboliquement et à l’occasion de mutiler physiquement. Son quinquennat restera comme une des choses les plus lamentables qui soient arrivées à la France.
On peut déplorer le mouvement antivax, et je le déplore grandement. Mais de quel esprit tordu faut-il être pourvu pour songer un instant à vouloir « emmerder » des gens pour les soumettre ? Le management par le harcèlement n’est pas de la politique mais une perversion indécrottable, c’est le cas de le dire, comme Macron le prouve en réitérant son mépris quelques jours après un mea culpa public. Sado et maso, un anneau sur chacune de ses mains. Soit il ne maîtrise pas du tout sa parole, soit sa sortie est volontaire, et d’un sadisme – et d’une bêtise – encore plus graves.
Le problème sanitaire n’est pas seulement celui du covid, c’est aussi celui de la santé mentale déplorable de trop de réputés premiers de cordée. Mauvaise santé qui a pour corollaire et reflet le complotisme de réputés derniers de cordée, rendus paranos à force de ne pouvoir faire confiance aux cinglés qui gouvernent. Après le petit Macron, le petit Attal reprend pour sa com le verbe emmerder de son maître. Voilà où nous en sommes : la REM est donc le nom en verlan de la merde ? Triste spectacle en tout cas que celui des lécheurs de chaussures de luxe merdeuses s’affairant à répandre leur salive pour entretenir un brillant bien dégoûtant.
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