Certains de ces masques et oiseaux de Maurice Garnier sont abîmés et auraient besoin de restauration. Je les trouve très beaux, assez fascinants, surréalistes – je me rappelle le goût d’André Breton pour les cailloux qu’il ramassait dans la rivière. Fondus dans la muraille de part et d’autre des escaliers qui descendent au square René Le Gall, jardin des Gobelins, ils peuvent passer inaperçus, et sont d’autant plus impressionnants quand on les voit.
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