« Please touch ». Voilà une différence entre un pays comme l’Écosse (et d’autres) et la France. Ici il n’est pas sans cesse interdit. De marcher sur les pelouses. De toucher une météorite – au contraire, on vous prie de le faire. Voilà, on touche la terre et le ciel, en toute simplicité. C’est l’une des merveilles de ce merveilleux musée, tout à la fois de paléontologie, d’anthropologie, de zoologie, de sciences, d’histoire… Les collections y sont présentées de façon très attractive et accueillante, interactive, intelligente. L’entrée est gratuite et il contient assez de richesses pour y passer plusieurs journées entières.
La famille de Stevenson, sur cinq générations, a construit des phares dans toute l’Écosse.
Il n’y a plus qu’à glisser la tête dans le casque, vous voilà immortalisé, ou presque, en astronaute
Dans la partie du musée consacrée à l’histoire de l’Écosse.
On ignore le sens de ces gravures datant du 6e siècle
Bond dans le temps : un morceau de l’accélérateur de particules du CERN
Bonds dans l’espace et les civilisations aussi
En sortant, nous croisons un renard pas très en forme en pleine ville
À la nuit tombée, le château est illuminé
Puis c’est le défilé aux flambeaux traditionnel des festivités du jour de l’an (Hogmanay), comptant des dizaines de milliers de personnes. Les vikings ouvrent la marche :
Puis viennent les cornemuses et les tambours, répartis à plusieurs endroits du défilé
aujourd’hui à Edimbourgh, photos Alina Reyes
La soirée n’étant pas terminée…
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