Voici, avec cette nouvelle repeinture – une icône sur bois, comme il se doit, que j’intitule « Parmi les étoiles », un nouveau passage de la Bhagavad-Gita, le poème feuilleton de cet été, dont Thoreau disait : « Nulle part plus que dans la Bhagvat-Geeta, le lecteur n’est emporté et maintenu à une hauteur de pensée aussi élevée, aussi pure ou aussi rare (…) En comparaison, même notre Shakespeare semble parfois juvénilement naïf et peu expérimenté. »
« Tout ce qui, en ce monde, brille
D’intelligence ou de beauté
Prend sa source dans un fragment
De ma divine majesté.
Mais à quoi bon tous ces détails ?
Sache juste cela : Je suis.
Un simple fragment de mon être
Soutient l’univers tout entier. »
Chant X, « Les manifestations divines »
Références dans la première note sur la Bhagavad-Gita : dérouler
Voir aussi : ma traduction de trois des sonnets de Shakespeare ; et ma traduction de passages de Thoreau
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