Je ne connais pas encore par cœur les trois prières indispensables, je laisse donc se déployer le temps du désir avant d’aller à la mosquée. Au sortir du jardin je me suis mêlée aux foules qui sortaient de la grande prière du vendredi, en récitant à voix basse, de mon mieux, Al-Fatiha. Lumière sur lumière.
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