Voilà, j’ai fait mon mea culpa -c’est de saison- sur Twitter hier. En m’excusant auprès des infans de la religion médiaticolittéraire si je leur ôte ainsi quelques raisons de me rejeter. Mais tout n’est pas perdu pour eux, je ne doute pas qu’ils en aient d’autres, plus solides, à commencer par la beauté, la liberté, l’impertinente pertinence de mes écrits – je plaisante, bien sûr. Bonne journée !
*