Au milieu du génie de Léonard

joconde*

J’ai commencé aujourd’hui à écrire un texte, un livre, sur Léonard de Vinci. Quel immense honneur, immense bonheur. Pourquoi ne pas se contenter de l’honneur et du bonheur que donne la contemplation de son œuvre ? Parce que, comme lui, à ma façon, je suis une chercheure. Je suis en route, j’ai toujours été en route, comme dit Cendrars. J’aime cette phrase de Léonard :

« Un vase en terre crue qui se casse, on peut le reformer ; en terre cuite, non. »

Il y a là de quoi méditer pour longtemps, ou de quoi trouver une illumination.

Cette phrase dit ma méthode, et c’est pourquoi je trouve.

Et j’ai mon roman en cours.

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alinareyes