Le pied d’O sur la table et les tournesols qu’il m’a offerts en me disant : que vas-tu en faire, Vincent ?
Les roses de la roseraie, hier au Jardin des Plantes, si belles, si odorantes, si sensuelles
Les oiseaux du paradis, si éclatants qu’on les entendrait chanter, dans le même jardin
Et les arbres, la lavande, les pavots…
Et puis les masques que je continue à fabriquer pour tout le monde autour de moi, dans des t-shirts colorés ou à motifs devenus sans usage, des leggings, des jeans (super-protection), etc. Avec un minimum de couture, ou sans couture. En avoir suffisamment permet de ne pas toujours les laver : il suffit, s’ils ne sont pas sales, de les laisser à l’air libre deux ou trois jours pour qu’ils se désinfectent d’eux-mêmes. (J’en ai acheté un à 5 euros pour voir si c’était plus confortable : pas du tout, et il n’est pas plus sûr non plus, et j’aime mieux le style de mes propres masques fantaisie, souvent hauts en couleurs. En voici quelques-uns (non repassés mais une fois sur le visage ils se défroissent d’eux-mêmes) :
Voir aussi : ma thèse en couleurs et bien sûr mes peintures