Barque à la licorne et chant d’Omar Khayam

barque à la licorne-min,

technique mixte, cette nuit et ce matin dans mon cahier d’écriture et dessin (qui s’inspirent réciproquement), avec hommage à Odilon Redon et à Gustave Moreau

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Ce caravansérail qu’on appelle le monde,
Tombe à double couleur, que jour ou nuit inonde,
C’est ce qui reste des banquets de cent Djamchid,
De cent Bahram couchés dans leur fosse profonde.

l’un des quatrains du poème « La roue tourne », in Omar Khayam,  Les Chants, traduit du persan par M.F. Farzaneh et Jean Malaplate, éd José Corti

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