Notre Dame de Lumière siège
dans ma poitrine et je respire
Je sens immensément, frères,
soeurs, vos âmes frémissantes,
qui s’unissent à la mienne
dans la vaste demeure, attente
ouverte en notre coeur. Vienne
sous vos pas la splendeur que le roi
déroule pour la reine, voici le souffle
infime et infini, passant
de l’un à l’autre de nous, pauvres
bienheureux, bénir notre invisible union.