Le château, la nuit.
La mosquée, la nuit.
La ville, la nuit. Avec en haut à droite de l’image une boucle de lumière : l’unique piste de ski, sur les Pentlands.
Licornes enfantines à la Central Library, sur South Street, où je vais travailler l’après-midi.
Lion souriant à Saint Andrew Square.
Victoria Street. La ville change sans cesse de niveaux.
Black Friars Street.
Lors d’une soirée de conteuses d’histoires traditionnelles dans un café, j’ai dessiné dans mon carnet ; et aussi, aux endroits où je travaille, dans mon cahier, toujours avec mon stylo quatre couleurs.
Les cerfs, les licornes et autres animaux sont partout représentés.
Au National Portrait Gallery, l’histoire de l’Écosse sur les murs et le ciel constellé au plafond. L’entrée est gratuite mais un portier de grand style vous ouvre la porte et la referme derrière vous comme si vous étiez reines et rois.
Après une bonne heure de marche dans la nature, sous les arbres, dans le chant des oiseaux (mais c’est toujours Édimbourg), voici Leith, qui fait aussi partie de la ville, avec son port.
C’est jour de matchs de rugby, au pub l’ambiance est plus que chaleureuse et tant d’hommes sont en kilt, quel bonheur.
Toujours à Leith, passage par une brasserie, la Campervan Brewery, installée dans un endroit improbable où l’on rencontre des gens merveilleux au sens littéraire du terme. Sa devise est inspirée d’un vers de Tolkien disant que tous ceux qui errent ne sont pas perdus.
Avant le retour au centre ville, garder cette vision d’un cygne qui semble boire la lumière.
à Édimbourg, photos Alina Reyes
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