hier soir, photo Alina Reyes
et ce matin, à la lumière du jour, j’ai repris Seul l’escalier reste de marbre
hier soir, photo Alina Reyes
et ce matin, à la lumière du jour, j’ai repris Seul l’escalier reste de marbre
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Aujourd’hui nous fêtons un anniversaire à la maison, je m’occupe de préparer la fête pour toute la fratrie réunie ce soir. Un petit tableau choisi par le fêté du jour fait partie des cadeaux. Si vous avez un cadeau à faire, songez que vous pouvez trouver sur ce site, en plus des livres numériques, le livre Voyage sous sa forme papier (également en bibliothèques) en promotion, et aussi des peintures et des dessins, également à prix doux*. Je peux aussi peindre des sujets sur demande, repris ou nouveaux s’ils correspondent à ce que je fais. Par exemple je vais peindre plusieurs fois, avec des variations, cette petite grange dans la neige, ou Nouveau monde, le tableau des oiseaux dorés, ou De la Grande Ourse à la grande ourse, le premier volet du triptyque Où va l’homme ?, les Pèlerins d’Amour… et tous ceux qui sont très plébiscités. Bon temps à vous !
* Le prix des dessins varie pour le moment de 15 à 50 euros, celui des peintures de 50 à 350 euros.
tout à l’heure en passant par le Jardin des Plantes puis la rue Teilhard de Chardin, photos Alina Reyes
une vitrine en allant chez le marchand de couleurs, tout à l’heure, photo Alina Reyes
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Ayant été privée de toiles tout le week-end – ce qui m’a permis de retourner au papier -, je suis allée cet après-midi chez le marchand de couleurs en chercher. Et il m’a donné ma nouvelle bible : leur catalogue. De quoi rêver longuement en attendant que sèche le fond de la nouvelle peinture expérimentale que j’ai commencée. Débutante, je fais évidemment à l’économie, achetant le moins et le moins cher possible. J’ai rêvé aussi chez le marchand devant les aquarelles, mais elles sont si chères, je continue avec mes aquarelles pour enfants à 2,09 euros la boîte entière. Acheter le matériel cher avant de savoir peindre ni quoi peindre serait mettre la charrue avant les bœufs, rien ne sert d’avoir de supers chaussures de montagne si on n’est pas capable de monter. Comme pour l’écriture, ce blog me sert de carnet de travail et je prie ses lecteurs de comprendre son esprit d’atelier. N’aurait-il aucun lecteur, je le tiendrais quand même, car je suis sa première utilisatrice, il me sert de chemin et de cairns, de point de vue aussi, où je m’arrête souvent pour contempler. Puissions-nous cheminer ensemble, chers inconnus, toujours vers l’inconnu.
cet après-midi à Paris, photos Alina Reyes
… du temps où je n’étais pas encore boycottée par la presse et l’édition. Dans Libé ici. En fait, il manque celui sur Marcel Schwob, c’était avant l’internet mais il est là. J’ai écrit aussi dans Le Monde mais pour lire les articles il faut être abonné (ici à partir de « La tentation de la lumière bleue », au bas de la page et suivantes) ; certains de ces articles ont été repris dans Bellaciao où ils peuvent être lus librement. J’ai écrit dans beaucoup de magazines mais ce n’est pas sur internet et il y a quelques mois j’ai jeté tous les magazines papier avec mes articles, ça prenait trop de place. Beaucoup de ces articles parus dans des magazines sont repris dans mes livres Corps de femme, Politique de l’amour ou Lumière dans le temps, que j’espère mettre bientôt sous forme numérique sur ce site – mais pour les deux premiers je n’ai plus le traitement de texte, il faudrait donc que je les retape, ce sera long.