« Il y a dans la mer fortement agitée,
En face de l’Égypte, une île appelée Phare »
Homère, Odyssée, chant IV, v.354-355 (ma traduction)
Un jour, inch’Allah, j’apprendrai assez de russe pour pouvoir traduire le grand Maïakovski. En attendant le grand Homère (dont je suis en train de traduire toute l’Odyssée) fait très bien l’affaire. J’aime les poètes qui se coltinent l’univers, et j’aime me coltiner l’univers des poètes.