Comment faire qu’un couteau sans lame, et auquel manque le manche, puisse être pris en main, et couper ?
C’est pourtant bien simple : c’est la première chose que firent les hommes en devenant des hommes.
Il faut donc devenir un homme, des hommes.
Comment faire qu’un couteau sans lame, et auquel manque le manche, puisse être pris en main, et couper ?
C’est pourtant bien simple : c’est la première chose que firent les hommes en devenant des hommes.
Il faut donc devenir un homme, des hommes.
Quand les lignes des dessins ou des gravures dans l’art préhistorique se superposent et s’enchevêtrent, c’est pour faire chanter toutes les voix du chœur.
Je ne sais plus quel auteur, québécois il me semble, a dit : « Ils n’avaient pas de pays, mais c’est tout ce qu’ils avaient ». Les peuples sans pays sont comme les gens sans vacances, ils sont nombreux. Le monde doit apprendre à être un pays pour tous, et le temps à donner vacances à tous.
J’ai ouvert une nouvelle page facebook : Langue
Ainsi que : Amour, une page d’Alina Reyes
Bible, Coran et autres textes saints
Et la page principale : Alina Reyes, auteur
Si vous y avez accès et si elles vous intéressent, pensez à les encourager et à les faire connaître, ne serait-ce qu’avec un « j’aime » !
et bonne et belle journée à vous
« La plupart des gens ne réalisent pas le pouvoir que possède le génie de comprendre l’essence d’un sujet sans avoir besoin de l’étudier laborieusement. » Aleister Crowley.
C’est la révolution spirituelle qu’il faut faire. La révolution sociale suivra d’elle-même. Beaucoup la font, même si on les voit mal. Sphère par sphère, hors-champ, continuer.
Ce qui viendra n’est pas un nouveau projet commun, ni un nouveau poème commun, c’est un poète commun, Le poète, revenu.
Déjà les envoyés font cortège et le précèdent, désordonnés encore et les yeux embués.
L’animal s’étire, le sentez-vous ? Ce n’est pas en un seul, ce n’est pas en quelques-uns, c’est en chacun que le poète veut s’étirer.