(actualisé) Les nouvelles fresques de street art dans le 13e

J’actualise cette note d’hier en y ajoutant cette fresque d’Invader que, toute à ma contemplation de la fresque d’INTI, j’avais oublié d’y ajouter, à la fin de mon parcours. Elle se trouve sur un bâtiment de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, côté boulevard Vincent Auriol. Je l’actualiserai de nouveau dès que je serai allée photographier aussi celle des deux nouvelles fresques de Shepard Fairey que j’ai manquée au début de mon parcours… en passant par ailleurs.

space-invaderInvader. C’est sa plus grande réalisation, toujours en mosaïque, à ce jour.  Et à côté du stéthoscope du Dr House, un petit Space Invader, bien sûr.

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Je suis allée malgré l’air pollué les admirer et les photographier. Il en manque une de Shepard Fairey, j’y retournerai et je l’ajouterai à la note. Et puis au cours du temps il y en aura d’autres, grâce aux artistes et à la politique du maire du 13e, Jérôme Coumet. J’ai beaucoup photographié depuis quelques années le street art dans le 13e, tags, graffs, fresques et autres, voir les mots-clés. Ces œuvres sont aussi visibles depuis la partie aérienne de la ligne 6 du métro, notamment le toit de l’école peinte avec les enfants.

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Seth

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Faile

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c215-et-obey C215, déjà ancien (le chat) et  à l’arrière-plan Shepard Fairey, alias Obey, qui en a fait une autre nouvelle, que je n’ai pas vue aujourd’hui mais que je retournerai photographiershepard-fairey *seth-et-faile-jpg
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ecole maternelle ecole-13e*

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inti-detail inti-refletphotos Alina Reyes

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E.T. & graffs & bâtisseurs de l’imaginaire

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ces jours-ci à Paris 13e et 5e, photos Alina Reyes

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J’avais l’intention d’aller cet après-midi à Montmartre, notamment à la Halle Saint Pierre voir les films sur les Bâtisseurs de l’imaginaire présentés par Claude et Clovis Prévost à l’occasion de la réédition de leur livre (pour le côté intérieur, peut-être faudrait-il y ajouter Nathalie Lopizzo ?). Mais hier soir, au retour de la Sorbonne, j’ai marché dans Paris et à cause de l’intense pollution je suis rentrée avec une migraine tenace, qui continuait ce matin. Je vais donc éviter de marcher aujourd’hui, d’autant que quand je suis à Montmartre il faut que je me balade, que je grimpe rues et escaliers… c’est le premier quartier où j’ai vécu à Paris, c’est aussi celui où, en rêve, je me suis baladée une fois morte, bienheureux fantôme ou esprit. Quand même, la pollution tue : si c’est bon d’avoir des fantômes en ville, il faudrait aussi y conserver des vivants, et qui ne soient pas empêchés d’y faire du sport sans sacrifier leurs poumons ! Vite, de plus en plus de transports en commun et non polluants, et de moins en moins de voitures !

« Quelque part entre les chênes à Beauregard, un homme a dés-
habillé le sol de sa terre. Dix-neuf années durant, Roger Rousseau
s’est laissé guider par les formes, la profondeur et le langage de la
roche. «