Coaching et auto-coaching

Ma montre cardio, qui ignore les bienfaits des soirées festives et des nuits d’amour, la pauvre, trouvait ce matin que ma nuit ne m’avait pas permis de récupérer suffisamment pour que je puisse faire de l’exercice aujourd’hui. Ayant couru hier, je suis simplement allée à la salle faire vingt-cinq minutes de rameur à rythme modéré, puis du saut à la corde, quelques exercices de gainage et de renforcement musculaire des jambes, une centaine de squats simples, dont quelques-uns avec une kettelbels de 6 kg, et vingt-cinq minutes de yoga pour finir. Rien de trop fatigant, j’écoute quand même les conseils de ma coach au poignet, et aussi ceux du « meilleur coach du monde », Jack Daniels, dont j’ai reçu le précieux livre en cadeau hier pour mon anniversaire. J’ai inauguré un autre de mes cadeaux, le casque à conduction osseuse, en écoutant du rap français pendant toute ma séance de rameur. Et là, de retour à la maison, j’écoute un autre de mes cadeaux, le CD de la B.O. du film Himalaya, l’enfance d’un chef, merveilleuse musique d’un film qui nous a laissé, en famille, un merveilleux souvenir d’enfance.

Ne laissez pas les mauvais coachs ni les faux coachs en tous genres entraver votre génie, qui est unique, votre joie, qui est innée, ni déformer les savoirs que vous avez acquis, ni s’immiscer de force où ils sont indésirés. Leur monde est laid, mais c’est leur monde. Faites toute chose belle en votre monde, afin que toujours l’emportent les mondes de beauté.

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