Je donne tous les musées de Paris pour celui-ci !
Océanie, Asie, Afrique, Amériques… Des arts « premiers » extrêmement puissants. J’y suis allée à Vélib, arrivée le sang bien chaud et repartie le coeur battant comme un tambour !
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Je donne tous les musées de Paris pour celui-ci !
Océanie, Asie, Afrique, Amériques… Des arts « premiers » extrêmement puissants. J’y suis allée à Vélib, arrivée le sang bien chaud et repartie le coeur battant comme un tambour !
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J’ai actualisé la page de Voyage.
Lecteurs de ce blog, merci de me soutenir en visitant mon site d’édition en ligne et en me lisant ! Du fait d’avoir écrit Voyage, objet de beaucoup de pressions, je ne peux plus publier depuis cinq ans, alors que j’ai publié plus de trente livres en vingt ans. Mais je continue à écrire, et nous nous retrouverons un jour en librairie. À suivre !
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Des objets en verre réalisés par une imprimante 3D : l’article
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Un sternum en titane imprimé en 3D sauve un patient : l’article
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Le son d’une corne préhistorique retrouvé grâce à une impression en 3D : l’article
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Création du 3DVarius, le premier violon réalisé grâce à une imprimante 3D : l’article
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Comment ça marche ?
« Révolution industrielle, créativité sans limites » : l’article, avec vidéo de démonstration de l’impression 3D à la maison
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Ne cousez plus, imprimez ! Idem pour les bijoux, et bien d’autres choses : l’article
(à l’arrière-plan, une reproduction de Basquiat)
J’avais ramassé ce bois mort il y a longtemps, je l’ai laissé sécher encore quelques années, puis soudain j’ai eu désir de le peindre (à l’arrière-plan, d’autres de mes peintures sur bois). Orientable en tous sens.
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Quelques heures à peine avant de mourir brutalement, un homme apparemment en pleine santé, sachant ce que nul, pas même lui, ne savait, postait en dernière note sur sa page facebook un lien vers un article illustré par cette image évocatrice de « grand départ » et portant dans son titre les mots « catastrophe annoncée ».
Rappelons le sens premier du mot catastrophe : « dernier et principal événement (d’un poème, d’une tragédie) » (kata indique ce qui vient d’en haut, et strophe ce qui tourne).
Un mois plus tôt, il avait aussi écrit : « la mort est une résurrection ».
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image trouvée ici
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Certains cherchent, d’autres se résignent. Tel est l’homme. Son attitude par rapport à la connaissance. Certains cherchent, d’autres se résignent à ne pas savoir, ou à ne « savoir » que ce que le savoir en dit (or savoir ce qui est su n’est qu’un début de connaissance et peut même conduire à la scléroser), d’autres encore exploitent ce que d’autres en cherchant ont découvert. Très souvent, ceux qui ne cherchent pas maltraitent ceux qui cherchent, bien qu’ils aient absolument besoin d’eux, sans qui l’humanité ne serait plus. Leur indifférence ou leur irrespect envers la connaissance se reporte aussi sur les chercheurs. S’ils l’emportent, si la gratuité de la recherche est empêchée, l’humanité s’effondre.
C’est le devoir de tout homme de chercher, quel que soit le domaine de recherche, si humble soit-il. Toute recherche est humble, puisqu’elle place l’homme en face de ce qui le dépasse. Ceux qui veulent dominer ne savent qu’exploiter les recherches et les découvertes des chercheurs. Pour empêcher qu’ils ne nuisent trop, il faut constamment continuer à chercher, avancer, donc révéler que l’inconnu nous dépasse et nous fait nous dépasser nous-mêmes, révéler aussi la vanité de l’homme qui ne cherche pas, et le danger que cette attitude fait courir à toute l’humanité : qui n’avance pas, pourrit sur place.
Aujourd’hui nous ne pouvons pas nous contenter de savoir que les lois de la physique quantique dépassent notre entendement. Même le profane peut chercher à comprendre ce qu’il en est. C’est après tout un écrivain, Edgar Poe, qui a compris le premier pourquoi la nuit est noire. À propos du « principe d’incertitude » (mais Heisenberg a plutôt parlé d’ « indétermination »), quelque chose m’est apparu qu’il est difficile d’exprimer, surtout sans outils mathématiques. J’essaierai de le dire quand même. Et tout ceci est lié à la thèse de littérature que je prépare. À bientôt peut-être sur ce sujet, donc.
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Les stalactites que je casse
Trinquent et tintent à ma santé
Entre mes doigts qui les ramassent
Dedans la neige qui se tait.
C’est la musique de la glace,
Au bout de la journée la nuit.
Et voilà qu’un vieux copain passe,
Ayant éclusé un bon puits.
Toc-toc il frappe à mon palace.
C’est qui je dis, c’est moi dit-il.
J’ouvre c’est lui sur ma terrasse
Me saluant d’un ton civil.
Ça va mon gars ? j’lui fais, sagace.
J’voudrais du feu il me répond.
Je lui en donne, qu’il se fasse
Une cigarette au rebond.
Il reprend sa montée cocasse
Avec le pote qui l’attend
Dans la nuit froide, à la ramasse.
Le vent souffle, la paix s’entend,
Les stalactites ne se lassent
Le long du toit de revenir.
Demain je casserai la glace
Encor, pour fermer et ouvrir.
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