
En écho à la note précédente, À la santé du Sapiens, cette dernière strophe (à la suite des images) du poème de Goethe L’un et le Tout, dans la traduction de Jean Tardieu, qui le présente ainsi : « le poème, de nature métaphysique, intitulé Eins und Alles (L’Un et le Tout) où l’on perçoit comme un écho lointain, une vision prémonitoire de la pensée moderne, issue, peut-être en partie, des audacieuses conceptions théologiques de Giordano Bruno, lorsqu’il suppose que la Création et ses créatures seraient condamnées au néant si elles n’étaient vouées à un acte éternel, à un changement perpétuel, mariage sacré de l’Unité et de la Totalité. »
*
Photos Alina Reyes, hier après-midi à Paris 13e












Il faut que tout agisse et soit mouvant et crée
Et que la forme change aussitôt que formée.
Tu n’es qu’une apparence, ô repos du moment !
Partout au plus profond se meut l’éternité,
Car toute chose ira se dissoudre au Néant
Si dans l’Être immobile elle veut demeurer.
Johann Wolfgang Goethe, traduit par Jean Tardieu


vue depuis la salle où se tenait la journée d’étude











Je me suis assise et j’ai mangé mon pain et mon fromage avec les autres étudiants qui prenaient leur sandwich sur cette aire agréablement aménagée devant la fac, puis j’ai continué la promenade en allant d’abord voir la Seine


l’un des portraits exposés






























































aujourd’hui à Paris 13e (les grandes fresques sont boulevard Vincent Auriol, j’en ai photographié d’autres 


















dans les rues du 5ème… Kam Laurene, Nemo…


au Centre culturel irlandais, exposition 
Simone Weil affichée sur un mur et la boutique d’un couturier
au jardin alpin du jardin des Plantes, une mésange charbonnière, une palombe bleue, une poule d’eau…


et dépassant d’un jardin de la mosquée, un olivier
aujourd’hui à Paris 5e, photos Alina Reyes

c