Un canon universel et intemporel composé il y a plus de trois cents ans par le du coup toujours jeune Pachelbel. (Et si vous cherchez des idées de cadeaux, pensez à mes livres et à mes peintures, dessins, photos etc.)
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Un canon universel et intemporel composé il y a plus de trois cents ans par le du coup toujours jeune Pachelbel. (Et si vous cherchez des idées de cadeaux, pensez à mes livres et à mes peintures, dessins, photos etc.)
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Une présentation de la Closerie Falbala :
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Musique incarnée :
https://youtu.be/ROcH81WMOb0
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« J’éprouve une très grande inclination pour la sève ». Jean Dubuffet présente son Coucou Bazar :
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Peinthéâtre :
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Gros plans sur son oeuvre :
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De Dubuffet, lors d’une balade à vélo, j’ai photographié la Tour aux Figures, sur l’île Saint-Germain à Issy. Cette oeuvre inaugurée en 1988, après sa mort, doit être rénovée. En 2020, il devrait être possible d’entrer de nouveau à l’intérieur de cette « grotte extérieure », comme l’appelait Dubuffet, de monter dans son labyrinthe ascensionnel de 117 mètres de haut.
photo Alina Reyes
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le site de la Fondation Jean Dubuffet
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J’ai commencé par une vue sur la Seine depuis le métro, en passant pont d’Austerlitz, j’ai fini par des vues de la ville depuis le bus, en rentrant. Entre les deux des conférences passionnantes sur le surréalisme à la Halle Saint-Pierre, et un tour assez rapide dans les rues de la butte, sous un ciel voilé par la pollution.
aujourd’hui à Paris, photos Alina Reyes
voir aussi mes photos des toits de Paris aujourd’hui depuis la butte
et une autre de mes balades à Montmartre, en été
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Je les trouve très beaux, avec leur peuple de cheminées indifférent au peuple d’humains, en bas. Je me suis assise là dehors en haut de la butte pour manger mon sandwich, et je les ai contemplés et photographiés, malgré l’encore épaisse brume de pollution. Je fais une autre note avec mes autres photos du jour à Montmartre.
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aujourd’hui au Jardin des Plantes, photos Alina Reyes
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« La vraie condamnation, et qui touche la commune façon de nos hommes, c’est que leur retraite même, est pleine de corruption, et d’ordure (…) Aucuns ou pour être collés au vice, d’une attache naturelle, ou par longue accoutumance, n’en trouvent plus la laideur. »
Michel de Montaigne, Essais III, II
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