aujourd’hui à Paris 5e, en rentrant de chez Gibert avec une provision de livres d’occasion pour ma thèse – qui ont pris la pluie
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aujourd’hui à Paris 5e, en rentrant de chez Gibert avec une provision de livres d’occasion pour ma thèse – qui ont pris la pluie
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avec toujours toute mon affection et mon admiration pour toi, Sarane ! Je vais travailler aussi avec toi pour ma thèse.
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Les Hommes sans Épaules perpétuent Supérieur Inconnu ici
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(dans le reflet, le Vélib que je viens de poser :)
aujourd’hui à Paris 13e, photos Alina Reyes
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réalisés sur papier dessin A4 en écoutant diverses conférences que j’ai « aimées » (éléments découpés dans des journaux gratuits chinois, des programmes de théâtre ou d’expositions, flyer, photo personnelle… + feutre, stylo, crayon)
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Maintenant que j’ai un abonnement Vélib, je fais moins de photos… mais le vélo, c’est super !
aujourd’hui à Paris 13e, photos Alina Reyes
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Deux de mes anciennes photos colorées hier soir à la main en écoutant les conférences de Georges Steiner à l’ENS (trois vidéos à la suite)
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Travaillée la nuit et réveillée le matin par la pensée de mon roman en train de s’achever, un livre potentiellement en or si j’en cisèle avec justesse les dernières touches, avant de me consacrer à ma thèse. Trouvé avant-hier dans la rue un fauteuil de bureau, envoyé du ciel ?, grâce auquel je travaille bien mieux qu’assise sur mon tabouret, comme jusqu’alors.
Je songe à ce rêve fait dans mes vingt ans, et raconté dans Ma vie douce, rêve où il m’était donné à choisir entre défricher l’Amazonie, décharger un train de matières précieuses, traduire L’Enfer de Dante. Le rêve revenait parfois avec des variantes comme celle-ci : écrire un mémoire sur l’alliance entre le café et le chocolat dans la duchesse au café (ce gâteau existe-t-il ? oui). J’ai accompli, j’accomplis le rêve, en choisissant tout.
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