Cinq poèmes de Stephen Crane (dans ma traduction)

Je vis un homme poursuivre l’horizon ; En rond, en rond, ils accéléraient. Cela me troubla ; J’accostai l’homme. « C’est futile », dis-je, « Tu ne pourras jamais… » « Tu mens », cria-t-il, Et il poursuivit, courant. * Au Paradis, Quelques petits brins d’herbe Se tenaient… Continuer la lecture