Nul

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Macron démolit à coups de hache l’héritage politique du Conseil National de la Résistance et en même temps rend hommage aux résistants du plateau de Glières. Macron rend hommage aux résistants du plateau de Glières et en même temps nasse et tabasse les résistants qui défendent l’héritage politique du Conseil National de la Résistance. Macron = zéro. Parfaite réaction des Gilets jaunes sur place hier dans la montagne : ils lui tournent le dos.

Macron mini-remanie son gouvernement avec trois mini-proches. Cercle de plus en plus rétréci : un petit zéro.

Un pas d’un côté, un pas de l’autre côté : Macron ne va nulle part.

 

crâne-heure-minsource de la Vanité

 

P.S. Je ne lis pas les mails des harceleurs, ils se fatiguent pour rien.

 

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ces jours-ci au Jardin des Plantes, photos Alina Reyes

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La farce fasciste de la macronie

poupee_anale_nationaleOn apprend que l’Élysée a truqué des vidéos avant de les diffuser illégalement sur des comptes twitter anonymes pour les relayer auprès des médias, afin de protéger Benalla tabassant des manifestants déguisé en policier.

Pour Geneviève Legay aussi, Macron a menti. Une énième fois. Les images dont disposait le préfet prouvaient qu’elle a bien été renversée par un policier, chargeant en meute et la poussant des deux mains. Une fois, j’ai échappé de peu à une pareille violence, dans une manifestation que je photographiais. Les robocops arrivent sur vous, froids, brutaux et cuirassés comme des blindés, ça m’a fait le même effet que lorsque j’ai failli être écrasée par une voiture en traversant. L’instinct d’esquiver au dernier moment – ça se joue à une fraction de seconde. Votre vie ou votre mort. Geneviève Legay aurait pu en mourir, comme Clément Méric, poussé au sol par un facho. Il était tout jeune. L’âge n’est pas en cause. Ce qui est en cause, c’est la violence fasciste.

L’équipe médicale (street medics) qui voulait la secourir quand elle gisait, la tête dans son sang, en a été empêchée, embarquée en garde à vue pendant dix heures et dans des conditions indignes. La blessée est restée par terre sans secours jusqu’à l’arrivée des pompiers, dix minutes plus tard. Geneviève Legay est toujours hospitalisée. Le préfet a placé un vigile devant sa porte, et il lui est interdit (officiellement par l’hôpital) de recevoir les journalistes auxquels elle voudrait parler. Tel est le fascisme de la macronie.

BHL ment à la télé. Une énième fois. Il accuse les Gilets jaunes de chasser les Roms. Schiappa, elle, accuse l’émission Envoyé spécial de populisme. Elle préfère pour sa part se rendre dans des programmes plus élevés, comme celui d’Hanouna, qui insulta grossièrement l’avocat Juan Branco il y a quelques jours et se rendit chez Jean-Marie Le Pen lui lécher longuement les pieds.

Le pape François refuse de se laisser baiser l’anneau par les fidèles. Il leur retire vivement sa main, sans qu’on sache si c’est par peur des microbes ou pour atténuer un peu l’image d’une église abusive. On pourrait penser qu’il y a du progrès, mais l’abus se transporte chez Macron, qui se rend dans les écoles distribuer la bonne parole propagandiste et toucher les cheveux des petits garçons. Telle est la farce fasciste. Elle était décrite dans mon livre Poupée, anale nationale, où la marionnette fasciste met des gants avant de serrer les mains des électeurs et se rend dans les écoles visiter les enfants pour s’assurer du vote de leurs parents.

Ce samedi les enseignants vont manifester avec les Gilets jaunes. L’une de ceux qui travaillent à l’Espé, où sont formés les profs, m’envoya un jour à la police, parce que j’osais critiquer ce qui se passe dans l’Éducation nationale. La réforme Blanquer, dite très orwelliennement « école de la confiance », doit abonder dans son sens en interdisant aux enseignants de critiquer l’institution qui les brutalise. O et moi sommes très soulagés que notre dernier fils ait renoncé à entrer dans cette carrière devenue invivable. Pour rappel, parmi mes témoignages sur mon expérience de néoprof :

Faillite de l’Éducation nationale

L’Espé meurtrier

Et plus généralement, sur le quotidien du métier et de son apprentissage : tags prof de lettres et Espé

… autant de textes qui devraient être bientôt hors-la-loi d’un État qui bafoue les lois et les droits.

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Papy fait de la résistance sur Agoravox

Papy_fait_de_la_resistance*

Attention, âmes sensibles s’abstenir. En ces temps de trouble instauré par la macronie, dans les rues la police mutile, frappe et jette à terre les opposants politiques, avec la bénédiction du président qui leur recommande d’être sages comme les flics se félicitaient de tenir une classe bien sage en faisant agenouiller des enfants mains derrière la tête. Et sur Internet, les frappes verbales sont tout aussi abjectes. Voici quelques-uns des commentaires publiés à la suite de mes articles sur Agoravox. Longtemps j’ai supporté l’agressivité de commentateurs (dont beaucoup de bourgeois retraités, vivier du vote Macron) tombant sur les rares femmes qui écrivent sur ce média comme des assoiffés de revanche, d’autant plus soucieux de prouver leur supériorité d’hommes qu’ils ont de quoi en douter sérieusement. Je ne signalais aux modérateurs que les commentaires violemment racistes, islamophobes, antisémites ou sexistes. De temps en temps la modération les effaçait au bout de quelque temps. Finalement il s’est produit un effet de meute et j’ai opté pour le blocage des commentateurs abusifs ou qui participaient à un raid. L’un d’eux s’est alors fendu d’un article pour dénoncer ma prétendue censure, article évidemment malhonnête qui a donné lieu à plus de 600 commentaires renchérissant sur la dénonciation. Agoravox en a supprimé quelques-uns, ainsi que sur certains de mes articles, mais rien n’arrête les harceleurs (pratiquement tous anonymes), certains s’inscrivent sous différents pseudos afin de pouvoir revenir harceler quand ils ont été bloqués. Qu’il y ait tant d’imbéciles n’est guère étonnant hélas, mais le plus moche est sans doute l’attitude d’Agoravox, qui loin de m’apporter un quelconque soutien, a permis qu’un contributeur publie un article contre une contributrice après avoir participé à ces attaques minables.

Voici quelques captures d’écran.

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agoravox 9Deux ou trois commentateurs protestent quand même un peu contre le « lynchage » en cours

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agoravox 11L’auteur de l’article, Fergus, ignore ce qu’il a lui-même écrit dans « son » article où il cite ma déclaration. D’autre part il répète qu’il a un « problème personnel » avec moi. Soit il est cinglé, pour avoir un problème personnel avec quelqu’un qu’il ne connaît pas, soit il parle, sous anonymat, pour quelqu’un qui me connaît.

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agoravox 12Quelques-unes des bonnes blagues sexuelles, sorties de quelque almanach Vermot porno ; j’en passe (de toutes façons je n’ai pas lu les plus de 600 commentaires)

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agoravox 13Ce 16 mars, j’avais publié sur Agoravox cet article, publié aussi ici ; c’est ce qui les a rendus fous, c’est là qu’ils se sont mis en meute. Le même commentateur, JC Lavau, s’en est pris ensuite dans plusieurs commentaires à ma mère, de façon insultante voire ordurière et diffamatoire. Exemple :

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Il y a eu aussi des commentaires sur mon physique, sur ma vie privée, etc. Il faut croire que tout cela est normal chez Agoravox, puisqu’ils n’ont pas bougé. Et voilà donc l’idée que se font les commentateurs de ce site – dont des macroniens, rendus furieux aussi par mes critiques de la macronie – de la liberté d’expression.

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Il est regrettable que le site ne soit pas mieux tenu, car l’idée en est intéressante. Mais il est devenu bien souvent un dépotoir de la vieille France rancie, raciste et sexiste, qui trouve là à s’exprimer sans frein.

Dommage, car certains contributeurs ne sont pas si mauvais, et les lecteurs et lectrices viennent de différents horizons, raison pour laquelle j’avais décidé d’aller leur parler là. Je l’ai fait. Passons à autre chose, ailleurs peut-être et d’abord, toujours, ici même !

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Commune libre jaune de Montmartre

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Quelle joie de voir ce samedi, pour l’acte XIX, Montmartre jaune de monde comme une montagne au printemps sous les crocus perce-neige ! Quel symbole, cette banderole déployée en haut du Sacré-Cœur, laide bondieuserie architecturale construite pour « expier les fautes de la Commune » ! Cette réappropriation par le peuple vivant de cette basilique aujourd’hui encore à tendance intégriste, qui occupe le lieu pour tenter d’effacer le souvenir des Communards assassinés là en masse sur l’ordre de Thiers – massacreur de peuple auquel Macron rendit hommage à Versailles. Oui, l’esprit de la Commune était revenu là, elle fleurissait, vivait, chantait, se réjouissait parmi les manifestants de cette belle journée en forme d’apothéose de la semaine ! Tandis que le pouvoir avait érigé autour de ses sanctuaires un véritable mur d’acier, gris et froid, gardé par des armadas de policiers et de soldats, où se tenait, cadenassé dans sa peur, le sempiternel menteur qui ne veut pas, en fait, qu’on aille le chercher.

Une nouvelle fois, dans toute la France, les Gilets jaunes sont sortis au plein air, et la macronie sans courage ni valeur s’est cachée, violence anonyme, derrière ses murs et ses armées. Encore une fois, la violence anonymisée des unités de police a tenté de reporter sa faute sur le peuple violenté. Et le peuple a montré qu’il était toujours debout, et qu’il continuerait.

« À l’absurde imposé, mécanisé, répond aujourd’hui la violence », écrivait l’historien Alphonse Dupront dans son livre Du Sacré. Après avoir noté que « nos sociétés modernes, effrénées de réglementation et donc de mépris de l’homme, s’acharnent à paralyser, à tarauder ou détruire les puissances de la vie » ; et constaté que « la médiocrité cristallise jalousies de son pouvoir et sa jouissance inquiète jusqu’à férocement, par tous moyens, s’en faire une citadelle. » Comme aujourd’hui, pouvons-nous ajouter, le fait la médiocratie macronienne.

 

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Mais rien n’arrête les puissances de vie. On reproche aux Gilets jaunes un manque d’organisation ? Il n’est qu’apparent : ces gens sont vivants, ils ont plus d’instinct qu’il n’en reste aux élites formatées, et cet instinct, la plus intelligente des intelligences comme disait Niezstche, leur fait suivre la voie de la vie, si déraisonnable puisse-t-elle paraître. « Le scandale de la déraison libère ici l’irrationnel, cette force souterraine qui est puissance d’exister et d’accomplir », poursuit l’historien habité du sens spirituel de l’histoire.

Une force souterraine qui jaillit comme les fleurs dans les champs au printemps. Voilà ce que j’ai vu dans cet acte XIX des Gilets jaunes. J’ai vu la belle France, comme disait Georges Darien dans son livre éponyme : « Voleurs et assassins — les Riches — sont parvenus, grâce à la terreur et à l’ignorance qu’ils imposent et entretiennent, à obscurcir complètement la signification du mot : Patrie. Avec l’aide de leurs deux valets, le Prêtre armé du mensonge et le Soldat qui brandit un sabre, ils ont réussi à interdire à ceux qu’ils ont spoliés la compréhension du mot (…) non contents d’avoir à leur service le prêtre et le soldat, ils ont enrôlé dans leur garde les pions et les sous-diacres de l’écritoire : et ces drôles, s’emparant du mot qu’il ne faut pas qu’on comprenne, le déguisant davantage encore sous le clinquant des phrases et les oripeaux de la déclamation, sont arrivés à en faire un spectre qu’ils opposent aux plaintes et aux demandes des Pauvres — ce mot, qui doit être la synthèse de toutes les revendications sociales ! La Patrie, aujourd’hui, — et, hélas ! depuis si longtemps ! — la Patrie, c’est la somme des privilèges dont jouissent les richards d’un pays. » Et Georges Darien conclut, à propos des pauvres qui se lèvent contre l’iniquité : « s’ils savent faire usage d’une politique très simple, dédaigneuse des vieux rouages de la politique bourgeoise, ce succès se manifestera très rapidement. »

Un événement comme celui de la Commune n’implique pas la violence ni le crime en retour, mais le fait que le crime ait lieu est simplement une preuve (non nécessaire) de la réussite de la Commune. Qui, comme tout événement juste, continue à vivre, à être en mouvement – qu’il ait été tué ou non. Simplement cela ne se passe pas dans le monde apparent, le monde que nous croyons réel alors qu’il est mortel et sans cesse mourant, mais dans le monde profond, d’où il fleurit, se manifeste ici et là dans l’espace et le temps, tout en étant à la fois l’un des moteurs et l’un des guides de l’humanité.

Malgré la volonté de crime et l’accomplissement du crime, ce qui (de l’événement juste) a été fait, en pensée, en parole ou en action, continue à se faire : rien n’a pu l’empêcher de se faire, rien ne pourra l’empêcher de continuer à se faire, rien ne pourra le défaire qu’il ne s’en renouvelle, qu’il n’en renaisse ou n’en ressuscite. Ce qui lui donne sa force est justement de n’avoir pas cédé à la tentation de se protéger par une organisation qui entrerait d’une façon ou d’une autre en contradiction avec ce qu’il est (comme cela fut fait dans l’instauration des régimes communistes), et qui tôt ou tard assurément le conduirait à sa fin (comme c’est arrivé) : le communisme léniniste ou maoïste est fini, contrairement à l’esprit de la Commune, qui est resté pur, donc viable.

La Commune ne s’est laissée ni récupérer, absorber par le système dominant, ni laissée aller à la tentation de se maintenir et de vaincre par un système de domination qu’elle aurait elle-même mis en place. Dans l’un et l’autre cas, elle aurait signé elle-même sa mort, à plus ou moins long terme. Or, nous le voyons bien, elle est toujours vivante – c’est-à-dire non pas identique dans ses manifestations à ce qu’elle fut lors de son apparition, mais identique en son « idée » et changée en ses expressions selon le mouvement naturel, non forcé, de la vie. Et elle est encore toute jeune. Comme dit la chanson communarde : « C’est la canaille… eh bien j’en suis ! »

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Montmartre fut le premier quartier que j’habitai à Paris il y a bientôt trente ans, il reste en mon cœur, et parfois dans mes rêves, la nuit.

Dans mon roman Forêt profonde, le Sacré-Cœur est changé en mosquée (dans un sens symbolique, spirituel, bien sûr)

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Chronique de la macronie et basta ! Journal des jours heureux

Après le constat sur les faux-monnayeurs en place, les déplacements de joie, rues, jonglages, zazen et autres jeux.

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Quel serment frappé à votre effigie allez-vous mettre en circulation ici, vous [Louis Bonaparte], le faux monnayeur de l’honneur ! Victor Hugo

Brigitte Macron, bronzée qui fait du ski fraîchement botoxée, appelle ses concitoyens à la non-violence, tandis que son mari, bronzé qui fait du ski, démantèle le pays et mutile les gens à coups de LBD, annonce qu’il envoie maintenant l’armée contre eux, plutôt que d’apporter des réponses politiques à leur demande de justice. Pourquoi ce couple me rappelle-t-il l’abbé Le Morandais, selon qui le viol des enfants par les curés vient d’une demande de tendresse des enfants, lesquels adorent embrasser les vieux sur la bouche ? Et pourquoi LaREM me rappelle-t-elle le pape François, qui refuse la démission de Barbarin ?

Bien loin de chez nous, en Australie, un prélat abuseur, jusqu’à ces dernières semaines n°3 du Vatican, a pris pour six ans de prison ferme, le juge ajoutant : j’ai bien conscience que vu votre âge et votre état de santé vous ne sortirez probablement jamais de prison, mais c’est ainsi, vous n’êtes pas un bouc émissaire, c’est bien vous, cardinal Pell, qui êtes jugé et condamné. Le parquet aux ordres est plus clément en France avec les abuseurs et leurs complices. Mais tout n’est pas perdu chez nous. Le Sénat a décidé de transmettre à la justice, pour faux témoignage, les cas de Benalla et de Crase, mais aussi de trois autres proches de Macron, Alexis Kohler, Patrick Strzoda et le général Lavergne.

La débâcle de Macron sur tous les plans signe son imposture. On n’en finirait pas d’énumérer les dysfonctionnements et les violences qu’il a fait subir à la République, à la chose publique, en moins de deux ans de fonction. On n’avait jamais vu ça, mais on aurait pu le voir si Ségolène Royal – qui justifie aujourd’hui le recours à l’armée contre le peuple – avait été élue. Sa campagne était empuantie par une semblable imposture totale, et également soutenue, ouvertement ou non, par nombre d’ « intellectuels » à la BHL qui ont ensuite soutenu Macron. Il y a là toute une bande de faux monnayeurs qui manœuvrent dans les nouvelles caves du Vatican (Gide étant l’un des auteurs préférés de Macron, qu’il me pardonne de lui emprunter ses titres) que sont les médias, pour leurs propres intérêts de classe. J’ai annoncé leur danger, représenté par Macron, dès l’élection de ce dernier, en mai 2017, comme je l’avais fait quand Royal en était l’expression, en février 2007. Les hommes et les femmes politiques passent – enfin, pas tant que ça en France où ils s’accrochent en dépit de tous leurs échecs ou condamnations en justice. Ils passent, mais restent les mêmes et se reproduisent ceux qui les soutiennent, ceux qui manœuvrent pour les faire élire, la caste des clercs, des intellectuels médiatiques, de ceux qui se rendent aux convocations de Macron afin d’être instrumentalisés pour sa publicité comme Brigitte Macron instrumentalise les enfants pour faire aussi sa propagande, en vantant la non-violence alors que le régime pratique de façon inouïe en république toutes sortes de violences, langagières, policières, sociales, économiques, morales.

Le destin des faux-monnayeurs, c’est de finir en prison. Si on ne les expédie dans une prison à barreaux de fer, comme celle de Pell en Australie, ils s’emprisonnent eux-mêmes, socialement et mentalement, dans une spirale de plus en plus infernale, qui les oblige à se cadenasser, se replier toujours plus sur leur petit milieu, et à employer des armes dégueulasses contre les civils qui exigent de n’être plus payés de mots : dans l’enfermement de ceux qui doivent vivre derrière les barreaux de leur déshonneur.

*22-3-19 : une certaine Zahra Mouloud a plagié ce texte sur Facebook, et refuse de le créditer après que je lui ai demandé de le faire. Une occasion de rappeler mon texte sur Sollers plagiaire

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Quant à nous, notre honneur est intact, et notre bonheur de vivre aussi. En travaillant, en marchant, voici les images de ce jour et d’hier.

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mouffetard 3-minUn beau Christophe Dettinger. J’apprends ce soir, quelques minutes après avoir posté cette image, qu’il a été suspendu de ses fonctions à la mairie d’Arpajon. Qu’est-ce que ce pouvoir qui confisque une cagnotte ouverte pour l’aider puis prive ce père de famille, travailleur exemplaire, de son emploi ? Honte, honte, honte à ces bourgeois ligués contre le peuple, honte à Macron et à toute sa clique.

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autour de la rue Mouffetard et au jardin des Plantes, photos Alina Reyes

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