Quel bonheur de ne pas faire partie des Gaulois·e·s pas réfractaires, comme les petits Macron, Benalla, Besson, Saal, Nyssen, Kohler, Schiappa, j’en passe, j’en passe, et pas que des politiques. Il y a un moment où la lecture de l’actualité vous transporte dans la joie de ne pas en être. Ah le monde est si petit. Ça feinte, ça ment effrontément comme des tout-petits qui n’ont pas encore leur raison, tout préoccupés qu’ils sont par leur gros égo anal… Lire les journaux comme on va au Guignol…
Et puis se promener le jour dans la grâce, le soir avec son chéri… Et puis savoir que la vie est ailleurs, et la vivre, bien pleine, bien paisible, bien libre, partout où elle est, partout où je suis.




ces jours-ci à Paris, photos Alina Reyes
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Ce matin à Paris, photos Alina Reyes
Sur ce mur il y avait précédemment 
















Là je suis arrivée sur le lieu de mon rendez-vous, à l’hôpital privé des Peupliers.
Pour voir le reste de la panthère : 


Ce matin à Paris, photos Alina Reyes
Sur un mur dans la rue, j’ai vu une série de photos de
Dans un jardin, j’ai eu le plaisir de revoir ce PostIt que j’avais placé là en juin, toujours là, avec quelques feuilles qui ont poussé devant.
Le jardin partagé du square René Le Gall est arrangé avec joliesse et grâce, pour la vie douce



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Dans la rue, j’ai photographié des tags
et une œuvre de street art toute fraîche.
J’ai aussi rephotographié cette œuvre de Seth et Kislow déjà ancienne.
Dans une miniforêt, j’ai ramassé quelques branchages de conifères coupés et je les ai mis dans un pot sur mon bureau, pour la bonne odeur vivifiante
Et la voici, récupérée elle aussi comme les branchages odoriférants, et transformée :
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