photos Alina Reyes, suite des images d’hier, voir note précédente
*
photos Alina Reyes, suite des images d’hier, voir note précédente
*
aujourd’hui aux angles de la rue Mouffetard à Paris, photos Alina Reyes
*
cet après-midi à Paris, photos Alina Reyes (pour les deux dernières images à la Bastille, comme je n’y vois pas très bien, j’ai appuyé sur le bouton film au lieu de photographier – ce sont donc deux captures d’écran)
*
Vendredi soir : j’ajoute ce lien France Inter comprenant des récits de témoins et des PV d’audition accablants pour Di Falco, et pour sa mère la pute l’église qui comme d’habitude n’a rien fait, l’a au contraire promu.
*
Mgr Di Falco de nouveau accusé de viols sur enfants. L’affaire est ancienne mais ce qui est actuel c’est la réitération du mensonge par cet homme, mensonge qui redouble le viol. Et le fait que la prescription en matière de pédocriminalité n’est toujours pas supprimée. Si le droit n’évolue pas, la société s’embourbe.
Mieux vaut voir un pénis sur un mur que le pénis du curé dans la sacristie. L’œuvre d’un street artist belge va être effacée dans les semaines qui viennent – d’ici là, les jeunes filles du lycée catholique d’en face et les femmes voilées dans la rue, entre autres, auront eu, s’il leur arrive de lever le nez, l’occasion de songer.
Un pénis géant peint sur un mur embarrasse Bruxelles
*
aujourd’hui à Paris 13e, photos Alina Reyes
*
Pour aller à la bibliothèque avec ordi, cahiers, feuilles, livres, j’ai acheté ce sac de collégien en solde à 12 euros, et j’ai effacé son très vilain dessin en le peignant à l’acrylique – ce que je fais toujours sur mes sacs ou agendas, ou encore mon téléphone portable à tout petit prix ou récupérés, comme ça ils sont beaux et uniques !
Les petits Parisiens sont de retour, leurs cris de joie remplissent de nouveau les squares. Et une licorne se promène sur le trottoir.
à Paris 5e, photos Alina Reyes
*