Save a day

(J’ai inventé cette chanson en rêve cette nuit, avec l’air. J’ai ouvert les yeux en la chantant, je me suis levée, j’ai noté. Le rêve était beau, il y avait un grand nombre de gens du monde entier et tout le monde était en joie en entendant la chanson, jouée au piano par J. avec de beaux accords).

Refrain :

Save a day

Earth is coming down in the dark

Worlds are fleeing through the true night

Hearts are beating

Save the day

See the shadows

How they’re fleeing

through the true face

of our deep heart

Come on the light

need our true love

to save the day

R

Save just one day

and we arise

from the long night

stand up, walking

and awakening,

saving our life,

the entire day

R

Let’s save our souls

If they come back

they’ll need the light

to stay alive

and one more time

falling in love

with the day

R

Pour une souveraineté alimentaire et artistique


Retrouver le sens de l’agriculture familiale
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« Jardiner, c’est écrire sur la terre »
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… et même si vous n’avez qu’un tout petit jardin, voici quelques livres en pdf gratuits sur la permaculture
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Voir aussi :
Le sens de l’humus, son blé, son pain
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Bricoleurs de paradis
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Ma récolte de pommes de terre
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Madame Terre

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Cueillettes
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Sauvage

Longs chapelets de rêves splendides, sauvages, hier et cette nuit. Dormant sous une tente tout au bout de la Fin des Terres avec O, à côté de la grande tente ronde des oiseaux, leur campement. Par l’ouverture de la nôtre, je les contemplais, par l’ouverture de la leur. Le matin venu, dans sa lumière vivante, déchirante, arrivée d’une grande manifestation, là, jusqu’au bord de l’eau, de l’océan. Je prenais mon appareil photo dans notre voiture et je la photographiais. Je photographiais notamment l’un des manifestants, qui portait un panneau aussi grand que lui, tout écrit ; puis il me demandait si j’accepterais d’écrire un livre retraçant son engagement politique. La route nous attendait, O et moi, mais il n’était pas impossible de tout faire, cela restait à voir. Hier mes rêves se terminaient sur des noms de personnes et de lieux, que j’inventais, qui me venaient, nus, étranges et beaux comme du début du monde.

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